Céleste

Céleste
Tout mes rêves se sont déjà envolés le jour où j'ai pleuré mes dernière larmes.

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▬ Nom : Céleste
▬ Surnom : aucun
▬ Âge : 8 ans
▬ Sexe : femelle
▬ Race : Pégase

▬ Liens : Aucun
▬ Troupeau : Nordique

▬ Couleur(s) de la robe : blanche, moucheté de noir sur la croupe
▬ Couleur(s) des crins : Noir
▬ Couleur des yeux : Bleus
▬ Cornes ? : non
▬ Particularité(s) : l'anneaux qu'elle porte à l'antérieur, et son manque de sourire

Il était une fois ...

▬ Histoire :
Le noir, le néant, le vide. Telle était ma vie avant. Enfin, si j'en ai eu une.
Je ne me souviens je rien, ni des jeux d'enfant, ni de mes parent, ni même de ce que j'étais avant. Mes souvenirs se sont gommés, comme on gomme un dessin raté sur une feuille blanche. Des fois, ça laisse des trace, qu'on à beau frotté, ça ne part pas. Les souvenir trop ancrés. Comme par exemple, une vague odeur, une sensation d'être protéger. Ou encore un sentiment de chaleur que je n'arrive plus à sentir, mais qui me fais tellement de bien quant j'y pense.
Je pourrais vous dire que mes premier souvenir sont ceux de mon arrivé sur cette terre. C'est faux. Pour deux raison: la première je ne sais pas comme je suis arrivé ici. La deuxième, c'est que il me reste une image de mon passé. Une seule. La pire de toute.

Il faisait sombre, terriblement sombre. C'était la nouvelle lune, de ce faite aucuns rayons argentés ne venaient percer l'obscurité. Malgré tout je n'ai pas peur, je dors avec d'autre poney de mon âge, dont les visages me sont flous. Et puis soudain, la catastrophe. Nous dormons au couvert des arbres dans une grande clairière. Nous étions donc à l'abri des intempéries. Mais pas de la foudre.
Ce que j'avais pris au début pour une nouvelle lune était en faite un ciel volait pas d'immenses nuages noirs chargé de foudre et de pluie. Et, lorsque le première éclair frappa, se fut pour éclater l'arbre le plus haut, celui qui surplomber notre clairière. Son tronc se fissura en une gerbe d'étincelle, ses branche s'enflammèrent, tout se passa très vite, trop vite. Les poneys se réveillèrent, mais pas assez vite, ils furent soit prisonniaient des flammes, soit écrasaient par des branches qui tomber. Moi, j'avais peur. J'étais faible. Ma mère qui avait pourtant réussi à se mettre à l'abri, revint me chercher. Un deuxième éclair frappa. Elle me poussa, me forçant à avancer devant elle.
Je trébuché, la fumer emplissait mes poumons, m'affolant. Je fut enfin au bord des flammes, quant j'entendis un craquement suivit d'un horrible hennissement. Je me retournais, et là je vis ma mère, dévorer par les flammes d'une branche énorme tombait à ses sabots. Un instant après, elle n'était plus. Les larmes emplirent mes yeux, et j'hennis mon désespoir. Mais, au lieu de me laisser tranquille, le feu vient lécher mes pattes, je me cabrer, mais ma tête heurta une branche basse. Affolé, je partis au galop, sans savoir où j'allais. Mes pattes désobéissantes se prirent dans els buisson, je m'écorcher, tomber, me griffer, me blesser encore et encore, jusqu'à se que je tombe sur une rocher, et assommer je ne me relevais plus.

Ensuite, lorsque je revins à moi, j'étais dans une terre inconnue. Je ne trouvais nul trace de mon rocher, ni de mes souvenir. A part els flammes, la peur, et le sentiment que, si j'avais couru, si je n'avais pas étais aussi … faible, j'ai peut être pus sauver ma mère. Perdu dans mes pensées, je ne fis pas attention au changement qui s'opérer autour de moi. Ce ne fut que lorsque, les yeux baigné de larmes, m'abandonnant au désespoir je sentis la douleur s'emparer de mon dos que je sus que je n'étais pas si seul que ça. Dans un cri de douleur, je m'effondrais au sol, les larmes continuant de couler, et mes rêves de futur s'évanouissant lentement dans l'obscurité qui volait peu à peu mes yeux.

La suite, et bien, tout les monde la connaît, ou presque, les douleurs, interminable, pendant des jours, des semaines, des mis, on ne sait dire. Puis la découverte, la résignation d'un futur différent, et l'apprentissage de ces nouvelles facultés. Moi, ce fus un poil différent. Les douleurs, oui, la découvert aussi, mais après plusieurs jour où je rester les yeux fermer, guettant une nouvelle vague de douleur, un nouveau filler de sang, … Puis, la résignation, qui elle avait était faite au moment où la douleur me transpercer. Et enfin l'apprentissage qui ne se fit que six mois après se moment. Oui, six moi. Je ne voulais pas utiliser ses ailes. Quant enfin je le fis, il me fallut six autre mois pour apprendre. Puis je rester un moment seul, développant un caractère bien à moi, avant de rejoindre la froide tribu nordique et ses contrées glacé. Là est mon histoire, mais elle est, loin d'être finit.

▬ Caractère :

Solitaire, froide, aussi froide que les régions que j'habite, et dénué de sens de l'humour. Voici les grandes lignes. Mais on peut aussi ajouter que vous ne le verrez jamais pleurer. Jamais. Les larmes sont une chose qui à disparut de chez moi, elles ont dut s'assécher le jour de mon arrivée… Même dans la douleur, je crie, je me bats, mais je ne pleurs pas. Et je trouve que les gens qui ne font que ça sont faibles, et inutiles.
Autre point, comme dit plus haut, je n'aime pas les gens. Oui, je suis un équidé, il n'empêche que la vie ma suffisamment fait souffrir pour que je ne veuille pas voir d'autres personnes, et risquer de souffrir encore plus.
De même que vous ne me verrez pas pleurez, vous ne me verrez pas sourire non plus. Sourire, c'est dire que la vie est belle, que vous êtes content d'exister, ou que vous voulez montrez au autre que vous l'êtes. Hors, je ne suis pas heureuse, et il n'y a personne, donc je n'ai pas à faire semblant
Je suis renfermée, je me bats pour ma vie, et je ne montrerai donc jamais mes faiblesses. C'est tout ceux que j'ai à dire, es autres traits de caractère, qu'ils soient minimes ou non, vous devrait les découvrir par vous mêmes

Toi, derrière l'écran

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